mardi 6 avril 2010

Romans

Gaïa est la maison d'édition qui m'a mis le pied à l'étrier en acceptant dès 2001 de publier un roman historique né de ma rencontre avec la ville d'Istanbul:
Bélisaire ou le mendiant de Sainte Sophie
Pour réaliser cet ouvrage, je n'ai eu qu'à développer certaines images puissantes qui m'ont envahi alors que je visitais, avec une classe de première dont j'étais responsable, des monuments chargés d'Histoire tels que la basilique Sainte Sophie ou les citernes de Yerebatan dans lesquelles une de mes élèves s'est évanouie à la vue de la tête de la méduse enfoncée dans une eau noire et lisse comme un miroir diabolique.
Il n'en fallut pas plus pour que naisse l'intrigue et l'idée d'une Bysance souterraine, repère d'une secte perse adonnée à la magie la plus noire, issue d'anciens cultes zoroastriens. J'ai été conforté dans cette idée par la lecture d'un ouvrage de Procope, hagiographe de l'empereur Justinien et ennemi déclaré de son épouse l'impératrice Théodora dont il fait une adepte des mystères d'Isis et de la magie sexuelle.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire